lundi 6 juillet 2015

Maudit soleil : Conte presque philosophique


En une semaine tout s'est asséché 

Et aucun jardin n'aime à se montrer dans cet état



Certaines fleurs luttent 

d'autres ont cessé le combat 
leur sève tarit
d'un soleil trop ardent. 







Les quelques gouttes d'eau tombées du ciel ne suffisent plus
D'une soif non étanchée 
la vie s'échappe.

Vivement le soir que la fraîcheur arrive enfin
Car la rose  flétrit 



Et pourtant à ses cotés 
des fleurs si simples sauront vous ravir








La nature est impitoyable parfois

la plus commune des fleurs détournera votre regard de celle qui fut la plus belle
Fragile.






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